Peut-on vraiment se faire plaisir tout en poursuivant des objectifs de minceur, de forme ou de prise de poids ? Oui. Le plaisir n’est pas l’ennemi du progrès. Il est même souvent la clé pour tenir sur le long terme sans craquages ni culpabilité.
Beaucoup de femmes vivent entre deux extrêmes : trop de contrôle et de frustration, ou trop de relâchement qui freine les résultats. Chez Abeli, nous défendons un équilibre intelligent, durable et apaisé où le plaisir fait partie de la méthode, sans bloquer l’évolution.
Cette première partie pose les bases essentielles : comment fonctionne le plaisir alimentaire, pourquoi la privation échoue toujours, et comment construire un équilibre plaisir/progrès réellement efficace.
Comprendre la physiologie du plaisir alimentaire
Le plaisir alimentaire n’est pas un caprice. C’est une réponse biologique et neurologique.
La dopamine
Cette hormone gère la motivation et l’envie. Se priver totalement fait chuter la dopamine, augmente les pensées alimentaires et finit par provoquer un craquage massif.
Le cortisol
Un régime trop strict augmente le stress. Le cortisol favorise la faim, les envies de sucre, le stockage abdominal et la perte de contrôle. Ce n’est pas le carré de chocolat qui bloque vos résultats, mais la pression que vous mettez autour.
L’insuline
Les plaisirs sucrés augmentent l’insuline, mais cela n’annule pas vos efforts si le reste de la journée reste équilibré, si vous bougez suffisamment et si vous ne êtes pas dans un surplus constant.
Pourquoi la privation totale ne fonctionne pas
Plus on interdit, plus on désire.
La compensation
S’interdire un aliment renforce l’envie en permanence. Au lieu de manger une portion maîtrisée, on finit par déraper beaucoup plus fort.
La perte de contrôle
La restriction stricte fait perdre les repères. Au contraire, intégrer des plaisirs maîtrisés stabilise le comportement alimentaire et permet de rester régulière.
La permission consciente
Il ne s’agit pas de manger n’importe quoi mais de choisir volontairement quand, comment et combien. Cette approche apaise le rapport à la nourriture.
Le secret : l’équilibre plaisir / progrès
Le bon équilibre est une combinaison de discipline flexible et de plaisir raisonné.
La règle 80/20
80 % des repas sont équilibrés.
20 % sont des plaisirs contrôlés.
C’est ce modèle qui permet de maintenir une progression stable dans le temps sans craquages.
Choisir le bon type de plaisir selon son objectif
Chaque objectif a ses plaisirs “compatibles”.
Objectif minceur
Chocolat noir, desserts à IG bas, petites portions, prise après un repas.
À limiter : boissons sucrées, fritures, desserts à jeun.
Objectif prise de forme
Le plaisir peut être utile : smoothies, crêpes maison, purée d’oléagineux, encas glucidiques intelligents.
Objectif prise de poids
Les plaisirs deviennent stratégiques pour augmenter les calories sans lourdeur digestive.
Techniques anti-frustration validées par la science
Le plaisir programmé
Décider à l’avance du moment plaisir permet de l’apprécier pleinement sans culpabilité ni perte de contrôle.
Le remplacement intelligent
Même plaisir, moindre impact : chocolat noir plutôt qu’au lait, glace yaourt plutôt que industrielle, pâte à tartiner protéinée plutôt que sucrée.
Stratégies nutritionnelles pour se faire plaisir sans ruiner ses objectifs
Pour intégrer le plaisir sans bloquer les progrès, l’alimentation doit être structurée de manière intelligente. Il ne s’agit pas de manger moins, mais de manger mieux, avec une stratégie claire.
Stabiliser sa glycémie pour mieux gérer les envies
Une glycémie stable réduit les envies compulsives et permet d’inclure des plaisirs sans déraillement.
Comment stabiliser :
-
ajouter une source de protéines à chaque repas
-
consommer des glucides à index glycémique bas
-
ajouter des fibres (légumes, avoine, graines)
-
éviter les sucres isolés loin des repas
Quand la glycémie est stable, un plaisir reste un plaisir. Quand elle est instable, un plaisir devient un déclencheur de craquage.
Le rôle essentiel des protéines
Les protéines augmentent la satiété, stabilisent la glycémie et soutiennent la construction musculaire (particulièrement avec la Cure Push-Up ou Prise de Forme).
Objectif minceur : réduire les envies sucrées.
Objectif prise de forme : améliorer la récupération.
Objectif prise de poids : augmenter l’apport calorique sans surcharge digestive.
Un plaisir sucré après un repas riche en protéines a beaucoup moins d’impact qu’un plaisir pris seul.
Bien choisir ses graisses pour encadrer les plaisirs
Les bonnes graisses ralentissent l’absorption du sucre et réduisent la réaction insulinique.
Sources idéales :
-
avocat
-
huile d’olive
-
noix, amandes
-
beurre de cacahuète naturel
Associées à un plaisir sucré, elles permettent de limiter le stockage.
La stratégie du repas « tampon »
Un repas structuré juste avant un plaisir réduit fortement son impact.
Un repas tampon idéal :
-
source de protéines
-
légumes riches en fibres
-
glucides à IG bas
-
bonne graisse végétale
Si vous voulez savourer une pâtisserie, faites-le après ce type de repas, jamais le ventre vide.
Comment gérer les envies sans craquer
La majorité des envies sont émotionnelles, hormonales ou liées à un manque de nutriments. Elles sont rarement “réelles”.
Voici les solutions les plus efficaces :
La règle des 10 minutes
Quand une envie apparaît, attendez dix minutes. La plupart disparaissent. Si elle reste, vous la prenez en conscience, sans culpabilité.
Le verre d’eau puis l’évaluation
Hydratation → baisse des signaux de faim nerveuse.
Le plaisir mini-portion
Un carré de chocolat = 100 % du plaisir avec 10 % des calories.
La substitution intelligente
Même goût, impact réduit :
-
chocolat noir 70 %
-
yaourt grec au miel
-
fruits rouges congelés
-
cappuccino protéiné maison
La technique du « plaisir utile »
Certains plaisirs peuvent renforcer votre progression.
Objectif prise de forme :
-
un dessert avant une séance jambes peut booster la performance.
Objectif prise de poids :
-
un dessert riche après le repas augmente l’apport calorique global.
Objectif minceur :
-
une petite douceur prévue permet d’éviter un gros craquage imprévu.
Travailler la pleine conscience alimentaire
Manger sans distraction (téléphone, séries, scroll) réduit jusqu’à 30 % la quantité consommée sans même y penser.
Manger en pleine conscience, c’est :
-
prendre le temps
-
savourer réellement
-
écouter son corps
-
reconnaître la satiété
-
ne pas manger par automatisme
Plus on savoure, moins on a besoin de quantité.
Comprendre la faim émotionnelle
Beaucoup de “plaisirs” sont en réalité des réponses à :
-
l’ennui
-
le stress
-
la fatigue
-
la solitude
-
l’anxiété
-
la surcharge mentale
Le corps demande du réconfort, pas de la nourriture.
Les solutions efficaces :
-
respiration profonde
-
boire une boisson chaude
-
sortir marcher 5 minutes
-
parler à quelqu’un
-
écrire ce qu’on ressent
-
prendre une douche ou changer de pièce
Cette stratégie permet d’éviter les plaisirs impulsifs et de garder les plaisirs choisis.
Structurer ses repas pour intégrer le plaisir sans conséquence
La meilleure méthode :
3 repas structurés + 1 collation.
Un repas structuré doit comporter :
-
une protéine
-
des légumes
-
un féculent IG bas
-
une graisse qualitative
La collation peut être stratégique :
-
prise de poids : énergétique (oléagineux, fruits secs)
-
prise de forme : protéinée
-
minceur : fibre + protéine
Les plaisirs s’intègrent après un repas ou une collation, jamais seuls.
Le timing parfait du plaisir
Le meilleur moment pour savourer un plaisir :
-
après le repas du midi
Pourquoi ?
Votre métabolisme est plus actif, et le pic insulinique est mieux géré.
Le pire moment :
-
à jeun, surtout le matin
ou -
en fin de soirée
Comment concilier plaisir, sport et progression physique
Le plaisir alimentaire ne ruine jamais les résultats si l’activité physique, même légère, soutient le métabolisme. L’objectif n’est pas de “compenser” mais de créer un environnement où le corps utilise correctement l’énergie consommée.
Bouger régulièrement pour neutraliser les excès
Le corps gère mieux les plaisirs quand il bouge souvent, même sans séance intense.
Bouger active les muscles, augmente la dépense, stabilise la glycémie et réduit le risque de stockage.
Voici ce qui suffit pour faire la différence :
-
20 à 30 minutes de marche après un repas riche
-
quelques squats, fentes, ponts fessiers à la maison
-
une simple routine de mobilité de 10–15 minutes
-
un trajet à pied plutôt qu’en voiture
-
monter les escaliers au lieu de l’ascenseur
Ce sont des gestes simples qui transforment l’impact d’un plaisir.
Les séances stratégiques pour optimiser l’équilibre
Certaines séances sont idéales pour intégrer un plaisir le même jour.
Séance fessiers/jambes (Push-Up ou Prise de Forme)
Votre corps va utiliser une partie du sucre pour nourrir les muscles, dans une logique constructive. C’est l’un des meilleurs moments pour savourer un dessert sans conséquence.
Séance de HIIT courte
Même courte, elle augmente la dépense post-training, ce qui stabilise l’impact calorique.
Séance de marche rapide
Idéal après un repas plus riche : digestion améliorée, stockage limité, sensation de légèreté retrouvée.
Le rôle crucial de la récupération
Quand on dort mal ou qu’on est stressée, le corps gère très mal les plaisirs.
Manque de sommeil =
-
augmentation du cortisol
-
augmentation de la faim
-
augmentation des envies sucrées
-
ralentissement du métabolisme
C’est pourquoi une bonne nuit de sommeil a plus d’impact que n’importe quel “régime”.
Conseils simples :
-
un repas léger le soir
-
pas d’écran 45 minutes avant de dormir
-
tisane ou infusion chaude
-
dîners pauvres en sucres et riches en légumes
-
routine apaisante (douche chaude, respiration, lecture)
S'écouter sans se saboter
Le plaisir est un outil quand il est conscient.
Il devient un frein quand il est impulsif.
Voici la règle la plus efficace :
si le plaisir vous détend, vous satisfait et vous permet de rester dans votre rythme → parfait.
si le plaisir vous culpabilise, vous stresse ou vous donne envie d'abandonner → ce n’est pas le bon moment.
Construire une semaine équilibrée avec plaisir intégré
Pour progresser durablement, ne gérez pas vos plaisirs au jour le jour : gérez-les à la semaine.
Exemple d’organisation :
Lundi
Journée structurée, alimentation équilibrée.
Mardi
Séance fessiers → possibilité d’un plaisir contrôlé le soir.
Mercredi
Journée normale, collation saine, hydratation.
Jeudi
Petit plaisir après le repas du midi.
Vendredi
Repas plaisir prévu le soir (restaurant, dessert).
Samedi
Plaisir léger, marche active ou séance courte.
Dimanche
Repos, hydratation, repas simples.
Ce type d’organisation :
-
élimine la culpabilité
-
évite les craquages
-
réduit l’effet “tout ou rien”
-
permet de rester régulière
-
garde le plaisir au centre, sans nuire aux résultats
L’importance de la pleine conscience dans le sport
Tout comme en alimentation, la pleine conscience renforce la qualité des entraînements.
C’est bouger avec intention :
-
ressentir les muscles
-
chercher l’amplitude
-
garder la posture
-
respirer correctement
-
ne pas s’entraîner “en automatique”
Cela améliore la dépense, l’efficacité et la connexion corps-esprit.
Adapter les plaisirs selon le type d’entraînement
Après un entraînement fessiers/jambes :
meilleur moment pour un plaisir sucré → les muscles utilisent le glucose.
Après une séance cardio :
éviter les gros plaisirs sucrés → privilégier un encas protéines + fibres.
Journée sans sport :
petit plaisir planifié, idéalement après un repas riche en protéines.
Le rôle déterminant des cures Abeli dans la gestion du plaisir
Les cures Abeli sont pensées pour accompagner ces moments :
-
Cure Minceur : aide à stabiliser la satiété et réduire les envies impulsives
-
Cure Prise de Poids : permet d’intégrer davantage de calories sans lourdeur digestive
-
Cure Prise de Forme : favorise un bon métabolisme et un meilleur tonus
-
Cure Push-Up : amplifie l’impact des séances fessiers même en présence de plaisir maîtrisé
Les plaisirs ne sabotent pas les effets des cures : ils s’y intègrent, s’ils sont choisis intelligemment.
Construire une relation apaisée avec le plaisir
L’objectif final n’est pas la perfection.
C’est la stabilité, la cohérence, la paix intérieure.
Une relation équilibrée avec la nourriture, c’est :
-
comprendre son corps
-
respecter son rythme
-
intégrer le plaisir sans culpabilité
-
maintenir une direction claire
-
rester régulière même quand les journées ne sont pas parfaites
C’est cela qui crée des résultats durables.
Les mécanismes invisibles qui influencent vos plaisirs alimentaires
Les choix alimentaires ne dépendent pas uniquement de la volonté.
Trois facteurs internationaux jouent un rôle majeur : l’environnement, les hormones et les émotions. Les comprendre donne un pouvoir immense pour continuer à se faire plaisir sans perdre le contrôle.
L’environnement : le premier déclencheur de plaisir
Les envies apparaissent souvent parce que :
-
l’aliment est présent sous vos yeux
-
il est associé à un moment
-
il est accessible immédiatement
-
il rappelle un souvenir positif
Un paquet de biscuits posé sur la table crée 10 fois plus d’envies qu’un paquet rangé hors de vue.
C’est une réalité scientifique documentée.
Pour garder l’équilibre :
-
ne laissez pas de tentations visibles
-
organisez vos placards pour mettre les aliments utiles à portée
-
rangez les plaisirs dans un tiroir ou une boîte
-
achetez les plaisirs en petite quantité
Le plaisir doit être choisi, jamais subi.
Les hormones qui influencent directement le plaisir
Certaines hormones augmentent naturellement les envies :
-
la ghréline (hormone de la faim)
-
le cortisol (stress)
-
la leptine (gestion de la satiété)
-
la sérotonine (humeur)
Quand la sérotonine est basse, le corps cherche du sucre pour la relever rapidement.
Quand le cortisol est haut, le corps cherche du gras et du sucre pour compenser le stress.
Quand la leptine chute, la faim augmente mécaniquement.
Aucun plaisir n’est un sabotage.
Mais le contexte hormonal peut amplifier les prises alimentaires sans que vous vous en rendiez compte.
Les émotions : moteur principal des envies impulsives
Près de 60 % des envies sucrées sont en réalité émotionnelles :
-
fatigue
-
manque d’affection
-
stress
-
ennui
-
surcharge mentale
-
solitude
-
frustration
La nourriture devient un apaisement instantané.
Comprendre cela permet de dissocier la faim réelle de la faim émotionnelle.
Stratégies efficaces :
-
boire une boisson chaude
-
prendre une douche
-
marcher 5 minutes
-
respirer lentement pendant 30 secondes
-
écrire ce qu’on ressent
-
appeler quelqu’un
Si l’envie persiste après ces actions, alors le plaisir est un vrai plaisir — à savourer consciemment.
Comment le corps gère réellement un “écart”
On imagine souvent que perdre le contrôle pendant un repas détruit tous les efforts.
C’est faux.
Voici ce que le corps fait réellement :
-
il augmente la thermogenèse (dépense calorique après un repas riche)
-
il utilise une partie des calories en chaleur
-
il augmente la dépense digestive
-
il répartit l’énergie sur 24 à 48 h
Ce mécanisme, appelé “effet thermique des aliments”, neutralise une partie de l’excès.
La progression ne se joue jamais sur un seul repas, mais sur la régularité globale.
Le problème n’est jamais un plaisir. C’est l’accumulation.
Une pâtisserie un dimanche → aucun impact.
Une pâtisserie tous les jours → effet cumulatif.
Une forte privation → craquage violent.
Un plaisir planifié → stabilité parfaite.
La modération gagne toujours sur la restriction.
Pourquoi certains plaisirs ne déclenchent pas de prise de poids
Certaines combinaisons alimentaires permettent au corps de mieux gérer un aliment riche.
Exemples :
-
chocolat + noix
-
dessert après un repas complet
-
plaisir après un entraînement bas du corps
-
portion mini associée à une boisson chaude
-
fruits rouges + crème légère
-
glace maison yaourt + miel
Ces associations réduisent l’effet glycémique, améliorent la satiété et diminuent le stockage.
La technique du plaisir “intelligent”
Il existe quatre façons de savourer un plaisir sans conséquence :
-
Après un repas équilibré
-
Juste après une séance fessiers/jambes
-
Dans une portion petite mais riche en goût
-
En choisissant une version plus qualitative
Cette méthode correspond à ce que les nutritionnistes appellent “le modèle modéré structuré”.
Le plaisir 100 % conscient : la règle d’or Abeli
Se faire plaisir sans culpabilité nécessite une seule règle :
être totalement conscient du moment, du goût, de la texture, de la satisfaction.
Pas devant un écran.
Pas en vitesse.
Pas pour combler une émotion.
Mais pour se faire plaisir, vraiment.
Le plaisir conscient réduit naturellement la quantité consommée.
Le rôle de la digestion dans la gestion des plaisirs
Une digestion lente favorise :
-
les ballonnements
-
la fatigue
-
les sensations de lourdeur
-
la frustration
-
les envies répétées
Une digestion fluide permet :
-
d’intégrer un plaisir naturellement
-
de stabiliser la glycémie
-
d’éviter les pics de faim
-
de mieux répartir l’énergie
C’est une des raisons pour lesquelles les cures Abeli fonctionnent : elles permettent une digestion plus légère et un meilleur fonctionnement intestinal.
Construire une journée type qui inclut un plaisir sans conséquence
Voici un exemple simple et réaliste :
Matin
Petit-déjeuner protéiné + fibres + bons glucides.
Midi
Repas structuré, riche en légumes, protéines, bons lipides.
Après-midi
Collation adaptée à votre objectif.
Soir
Repas léger, riche en légumes, sans sucres rapides.
Plaisir
Intégré après le déjeuner ou après une séance.
Cette structure laisse de la place au plaisir sans jamais bloquer la progression.
Les erreurs qui sabotent les progrès sans que vous le sachiez
Certaines habitudes empêchent plus les résultats qu’un plaisir :
-
ne pas boire assez
-
manger trop rapidement
-
sauter le petit-déjeuner
-
manger trop sucré le matin
-
grignoter la soirée
-
manger devant les écrans
-
manquer de protéines
-
négliger le sommeil
Ces erreurs ont plus d’impact sur la silhouette que le plaisir lui-même.
Le lien entre sommeil, plaisir et stockage
Moins vous dormez, plus vous aurez envie de sucre, c’est mécanique.
Le manque de sommeil :
-
augmente la ghréline (faim)
-
diminue la leptine (satiété)
-
augmente le cortisol (stress)
-
augmente la sensibilité aux plaisirs sucrés
Une bonne nuit de sommeil vaut plus qu’une semaine de restrictions.
Les fondations psychologiques d’un rapport sain au plaisir
Un rapport équilibré au plaisir repose sur trois piliers psychologiques :
la permission, la flexibilité et la conscience.
La permission
L’interdiction crée l’obsession.
La permission crée la détente.
La flexibilité
Une alimentation flexible augmente la régularité.
La conscience
Comprendre pourquoi on mange permet de mieux choisir.
Comment renforcer sa discipline sans frustrer son corps
La discipline ne se construit pas en supprimant, mais en structurant.
Pour renforcer votre discipline :
-
planifiez vos repas
-
prévoyez des snacks sains
-
anticipez vos plaisirs
-
préparez vos courses
-
structurez vos journées
-
choisissez vos moments plaisir
La discipline est une organisation, pas une punition.
Le plaisir comme outil de motivation
Un plaisir peut devenir un outil pour :
-
tenir une routine
-
rester régulière
-
gérer les émotions
-
éviter les craquages
-
soutenir les entraînements
-
augmenter l’énergie
C’est une stratégie intelligente, pas un sabotage.
Le rôle de l’identité dans la progression
Les personnes qui progressent durablement se voient différemment :
-
elles ne se considèrent pas en “régime”
-
elles voient leurs plaisirs comme des choix
-
elles savent qu’un plaisir ne ruine rien
-
elles respectent leur corps
-
elles progressent à leur rythme
Ce changement d’identité fait toute la différence.
Construire un environnement mental solide
Votre état d’esprit détermine votre évolution.
Pour progresser :
-
évitez l’auto-critique
-
pratiquez la gratitude
-
simplifiez vos routines
-
réduisez la charge mentale
-
priorisez votre sommeil
-
valorisez vos progrès
Votre mental doit être votre allié, jamais votre adversaire.
Le plaisir dans le cadre d’un objectif minceur
Le plaisir est utile dans un objectif minceur :
-
il réduit la frustration
-
il évite les craquages
-
il stabilise l’équilibre hormonal
-
il augmente la longévité du programme
L’objectif n’est pas de supprimer le plaisir, mais d’améliorer sa qualité et son timing.
Le plaisir dans un objectif prise de poids
Dans une prise de poids saine :
-
le plaisir augmente les calories
-
stimule l’appétit
-
permet d’ajouter de l’énergie sans saturer
-
améliore l’adhésion au programme
-
évite l’épuisement mental
Il devient un allié majeur.
Le plaisir dans un objectif prise de forme
Ici, le plaisir sert :
-
de carburant pour les séances
-
de récompense non culpabilisante
-
de soutien pour l’énergie
-
de stabilisateur du mental
Un dessert après une séance fessiers est même bénéfique.
Les catégories de plaisirs compatibles
Voici les plaisirs les plus “compatibles” :
-
chocolat noir
-
yaourt grec + miel
-
boissons chaudes gourmandes
-
fruits rouges
-
crêpes maison
-
smoothies
-
glaces maison
-
gâteaux maison simples
-
beurre de cacahuète
-
date + amande
-
cookies maison
Ces plaisirs sont riches en goût, mais maîtrisés.
Les plaisirs à limiter mais non interdire
À limiter :
-
fritures répétées
-
pâtisseries industrielles
-
boissons sucrées
-
biscuits ultra-transformés
-
barres chocolatées
-
fast-food répété
À limiter ne veut pas dire interdire.
Une fois de temps en temps ne bloque rien.
Le plaisir émotionnel : comment le transformer
Au lieu de subir un plaisir émotionnel :
-
identifiez l’émotion
-
respirez 30 secondes
-
prenez un thé
-
marchez 3 minutes
-
écrivez ce que vous ressentez
-
choisissez ensuite consciemment
Ce processus transforme un automatisme en choix.
Le plaisir social : le plus important de tous
Les sorties, anniversaires, restaurants…
Ce sont des moments importants.
Voici comment en profiter :
-
choisissez un seul plaisir
-
mangez lentement
-
savourez pleinement
-
hydratez-vous
-
écoutez la satiété
-
reprenez votre routine au repas suivant
Vivre est plus important qu’une restriction.
Le plaisir et le métabolisme féminin
Le métabolisme féminin est sensible :
-
au sommeil
-
aux hormones
-
au stress
-
au cycle féminin
-
aux émotions
-
au contexte social
Un plaisir intégré intelligemment se transforme en énergie utile.
Comment maintenir la motivation même avec plaisir
La motivation se maintient en :
-
surveillant ses progrès
-
notant ses sensations
-
respectant ses routines
-
prévoyant ses repas
-
gérant son sommeil
-
intégrant du plaisir sans excès
Ce système rend l’objectif durable.
Construire un rapport heureux à son corps
Les plaisirs alimentaires font partie d’une vie équilibrée.
Apprendre à les gérer sans culpabilité crée :
-
plus de bienveillance
-
plus de confiance
-
plus de stabilité
-
plus d’énergie
-
plus de satisfaction
L’objectif final :
une relation apaisée avec votre corps et votre alimentation.
Conseils avancés pour profiter sans culpabiliser et continuer à progresser
Une grande partie de la réussite dépend non seulement de ce que vous mangez, mais de la façon dont vous vivez vos plaisirs. Le but de cette dernière partie est de vous donner des outils mentaux, pratiques et émotionnels pour continuer à avancer avec sérénité.
Comprendre que le plaisir ne détruit pas les résultats
Un plaisir isolé ne ruine jamais :
-
une semaine de progrès
-
une séance d’entraînement
-
un programme en cours
-
une cure Abeli
Ce qui compte, c’est la régularité et non un repas.
Rien ne se joue sur un seul choix. Tout se joue sur l’ensemble des choix.
C’est cette logique qui rend possible un équilibre durable, sans frustration.
Désamorcer la culpabilité après un plaisir
La culpabilité est plus destructrice que le plaisir lui-même.
Voici comment l’éliminer :
-
reconnaître que c’est normal et humain
-
accepter que vous avez choisi ce plaisir
-
refuser d’entrer dans la logique “j’ai gâché ma journée”
-
reprendre votre routine dès le repas suivant
Une femme qui accepte, observe et continue avance toujours plus vite qu’une femme qui culpabilise et se restreint.
Éviter le cercle vicieux du “tout ou rien”
Le fameux “je reprendrai demain” ou “c’est foutu pour aujourd’hui”.
Pour éviter ça :
chaque repas est une nouvelle chance, pas une pénalité pour celui d’avant.
Un plaisir à 14h n’oblige pas à mal manger à 20h.
Le corps ne fonctionne pas en journées “réussies” ou “ratées”.
Cette logique de souplesse est ce qui crée une constance réelle.
Développer un environnement alimentaire qui aide
Un équilibre heureux dépend aussi de votre environnement.
Voici ce qui aide :
-
avoir toujours des collations saines à portée de main
-
ne pas stocker des produits déclencheurs en grande quantité
-
déconstruire l’association “stress = nourriture”
-
préparer des repas à l’avance
-
boire suffisamment d’eau
-
dormir correctement
Votre environnement est votre premier allié.
Comment intégrer le plaisir au restaurant ou en sortie
Quelques règles simples à retenir :
-
choisissez un seul plaisir (dessert ou plat, pas les deux)
-
évitez les boissons sucrées : l’eau reste idéale
-
commencez toujours par une entrée de légumes si possible
-
mangez lentement, en conscience
-
ne finissez pas votre assiette “par obligation”
Le plus important : savourez.
Un repas plaisir vécu dans la détente a beaucoup moins d’impact métabolique qu’un repas vécu dans la culpabilité.
Comment Abeli accompagne un mode de vie équilibré
Les cures Abeli ont été créées pour faciliter un quotidien réaliste, et non pour imposer un régime strict.
Cure Minceur Ventre plat
Aide à réduire les envies impulsives, stabilise la satiété et soutient l’équilibre hormonal lié au stockage des graisses.
Cure Prise de Forme
Optimise le métabolisme, augmente le tonus, améliore la récupération et facilite la régularité.
Cure Push-Up
Amplifie les résultats fessiers, même avec une alimentation flexible, grâce à un accompagnement musculaire ciblé.
Avec la bonne cure, le plaisir ne dérange pas :
il s’intègre naturellement dans votre progression.
FAQ sur le plaisir et les objectifs forme & minceur
Le plaisir fait-il vraiment prendre du poids ?
Non, pas s’il est intégré intelligemment. C’est l’excès répété qui pose problème, pas l’aliment lui-même.
Puis-je manger ce que je veux pendant une cure Abeli ?
Oui, tant que vous gardez un cadre équilibré. Les cures fonctionnent même avec des plaisirs maîtrisés.
Combien de plaisirs par semaine sont compatibles avec mes objectifs ?
Entre 2 et 4, selon vos portions et votre activité physique.
Vaut-il mieux éviter totalement les plaisirs ?
Non. La privation crée des craquages. L’équilibre crée la progression.
Que faire si j’ai trop mangé ?
Hydratez-vous, bougez légèrement, et reprenez une alimentation équilibrée au repas suivant. Aucun impact réel sur le long terme.
Conclusion : le plaisir comme allié, pas comme ennemi
Se faire plaisir et progresser physiquement ne sont pas opposés.
L’équilibre, la conscience et la structure permettent de savourer ce que vous aimez tout en avançant vers votre objectif.
Une alimentation flexible, réaliste et apaisée est la clé de résultats durables.
Et c’est exactement la philosophie Abeli : transformer le corps sans détruire la relation avec la nourriture.
Découvrez la cure la plus adaptée à votre corps :
Essayez notre test personnalisé ici : faire-le-test
Ou explorez directement toutes nos cures naturelles sur la boutique Abeli
0 commentaire